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13 janvier 2012 5 13 /01 /janvier /2012 08:00

 

 

Le soir du 25 décembre, j'étais invitée chez mon neveu et son épouse (vous ai-je déjà parlé de leur fils, Maxime, un adorable bout de chou?).

  

Emilie avait préparé une jolie table, et avait placé en son centre une bougie qui m'a interpellé.

  

Déjà, à la base, les bougies, j'adore.

 

Surtout les parfumées.

 

J'en allume une tous les soirs (ça me tient chaud l'hiver, et ça illumine mes soirées l'été).

 

La bougie qu'Emilie avait disposé au centre de la table, était très intrigante.

 

Parce qu'elle change de couleur.

 

Véridique.

 

Sans pile ni autre gadget.

 

Et j'ai trouvé ça tellement joli, que j'en ai acheté une.

 

Je vous montre :

 

 

Il existe 4 parfums :

- cannelle et bois précieux

- chocolat gourmand

- orchidée sauvage & soie précieuse

- fleur de vanille & délice de caramel

 

J'ai pris fleur de vanille & délice de caramel; je ne l'ai pas encore allumé, j'attends de finir celle qui siège sur ma table de salon.

 

La technique : c'est une techologie innovante qui associe une fibre optique, une diode électroluminescente et une flamme.

 

Simple comme bonjour.

 

 

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11 janvier 2012 3 11 /01 /janvier /2012 08:00

 

 

Après avoir publié un billet sur la mocheté à l'état pur, il fallait bien contrebalancer.

 

L'autre jour, en zappant sur TF1, je suis tombée sur la météo d'Evelyne Dhéliat.

 

Et je me suis dit : qu'est ce qu'elle est belle! (j'en ai même envoyé un SMS de ravissement à ma copine Steph) (des fois avec elle, on s'envoie des SMS pour rigoler).

 

Franchement, je la trouve très belle (surtout pour son âge, 63 ans).

 

Du coup, j'ai envie de me coiffer comme elle (je n'en suis pas très loin) (sauf que ma côpine Steph m'a dit que j'avais les cheveux plus souples qu'elle) (damned).

 

Quand même, je vous donne la photo de la belle Evelyne:

 

 

 

Vous en dites quoi? (d'elle et de sa coiffure?)

 

 

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 08:00

 

 

 

 

johnny-1-.jpg

 

 

et ça fait peur, nan?

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6 janvier 2012 5 06 /01 /janvier /2012 08:00

 

Quand je vois un livre de Philippe Jaenada, je suis comme un acarien au salon de la moquette.

 

Excitée.

 

Et une fois lu, je suis ravie.

 

J'aime décidement beaucoup cet auteur (et sa façon d'écrire en mettant des parenthèses).

 

 

 

"Nous vivions quelque chose d'extraordinaire. Nous nous aimions. Et puis Pimprenelle, si imprévisible, si aérienne, est devenue obsessionnelle et jalouse.

Heureusement, j'ai adopté une méthode pour affronter la vie en toute sérénité : celle du chameau sauvage d'Australie.

Lors des duels, il décide lui-même s'il a gagné ou non, et il se couche sur le flanc, sans se soucier de son adversaire."

 

C'est l'histoire d'une histoire d'amour, et plus particulièrement de l'accouchement de Pimprenelle.

355 pages, en traitant d'un sujet qui m'est pourtant lointain, j'ai trouvé ça (presque) trop court.

On vit cette histoire comme si on regarde un film.

Et la fin est inattendue (quoique); et me fait penser quand dans la vie, même si on souffre, tant qu'on aime l'autre, on n'est plus maître des choses.

 

Vivement un autre livre de ce cher Jaenada...

 

 

 

 

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 08:00

 

Profitant des derniers jours de congés, je suis allée au cinéma.

 

Pour voir "la délicatesse", film tiré du livre de David Foenkinos, dont j'avais déjà parlé ici.

 

 

 

J'avais bien aimé le livre, je me suis donc rendue dans une salle obscure, sachant que je ne revivrais pas la même chose.

 

Le film est bien, les acteurs aussi (Audrey Tautou et François Damiens), et l'hostoire est la suivante :

 

Une jeune femme (Audrey Tautou) coule des jours heureux auprès de son mari (Pio Marmaï, miam miam), jusqu'au jour où celui-ci décède tragiquement.

 

Elle s'investit dans son travail, avec un chef qui lui tourne autour, et un collègue, assez bizarre (François Damiens), c'est à dire tombé de la lune.

 

 

  

De là, elle réapprend à vivre, et cela se termine par une belle histoire d'amour.

 

Pas d'intrigue particulière, pas d'émotion spectaculaire, juste un bon moment.

 

Qui m'a donné envie de relire le livre (et de le prêter à qui je ne l'ai pas encore prêté).

 

Voilà pour ce début d'année.

 

PS : au fait, bientôt sort un film sur Cloclo, avec Jérémie Régnier (troublant de ressemblance d'après la bande annonce que j'ai vu).

Mais cela ne m'a pas donné envie d'aller le voir pour autant (Alexandrie, Alexandra...) (j'en connais d'autres, mais si je commence, cela va me trotter dans la tête toute la journée).

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 08:00

 

 

 

 

 

Parce que le début d'année est souvent associé aux bonnes résolutions (qui ne sont pas tenues), je me dois de vous dire que je n'en aurai aucune, à part celles-ci:

 

- voir les personnes que j'aime aussi souvent que possible,

 

- continuer à lire et écouter de la musique aussi souvent que possible,

 

- rire et blaguer aussi souvent que possible,

 

- m'acheter des futilités (maquillage, vêtements, objets de décoration, etc..) aussi souvent que possible,

 

- dormir assez, aussi souvent que possible,

 

- manger des bonnes choses aussi souvent que possible,

 

- faire des gommages et hydrater my body aussi souvent que possible,

 

- aller au cinéma (seule ou accompagnée) aussi souvent que possible, (en mangeant des M'Ms aussi souvent que possible),

 

- prendre rendez-vous chez la pédicure pour une remise en forme de mes petits pieds aussi souvent que possible,

 

- laisser de côté ce qui m'encombre ou me peine, aussi souvent que possible,

 

- faire des bises et serrer dans mes bras mon petit neveu, aussi souvent que possible.

 

 

Ce n'est pas si difficile finalement, car je pourrais résumer ces résolutions pour 2012, par la continuité de celles de 2011 (qui n'en étaient pas vraiment, je vous l'accorde).

 

Et la dernière :

 

- continuer à vous faire partager mes coups de coeur et mes coups de gueule, ici, aussi souvent que possible.

 

Je vous souhaite à tous et toutes, fidèles lecteurs ou lectrices, commentant ou pas sur ce blog, une douce et heureuse année, remplie de sourires, de gestes tendres, et de moments délicieux.

 

 

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21 décembre 2011 3 21 /12 /décembre /2011 08:00

 

 

 

Cela fait deux jours, que je suis gênée.

 

Déjà, quand j'ai appris qu'Anne Sinclair était "élue" personnalité marquante de l'année 2011.

 

 

Ah bon.

 

Qu'a t-elle fait pour mériter une telle place?

 

Apparaître dans les journaux au bras d'un mari volage? (et encore, je suis soft).

 

A mon avis, d'autres femmes auraient mérité sa place.

 

Je sais, la réponse à ce classement est du à la place médiatique qu'elle a occupé cette année, mais quand même.

 

Deuxième moment de gêne:

 

Les 30 000 femmes qui portent des implants mammaires PIP devront se faire enlever le bazar (jusque là, rien d'anormal vu que les dits implants ne sont tellement pas fiables qu'ils peuvent engendrer de graves maladies, avec mort à la clef).

 

Mais où le bât blesse, c'est quand j'apprends que les opérations seront prises en charge par la sécu (donc nos cotisations).

 

 

Ben voyons.

 

Autant, je comprends que certaines femmes, après un cancer du sein ou une maladie, aient eu recours à ce type d'opération.

 

Mais quand on choisit délibérement de faire grossir des nichons trop petits, ou réduire des trop gros, pour moi c'est de l'esthétisme.

 

Et là, je ne suis pas d'accord de payer pour ça.

 

Les fautifs (fabricants, médecins qui étaient au courant du peu de fiabilité du produit) devraient prendre en charge cette gabgie.

 

Mais comme d'habitude : responsable, mais pas coupable!! (ça me rappelle l'histoire du sang contaminé).

 

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 08:00

 

J'aime bien les orchidées.

 

 

 

 

Faut dire que ce sont des plantes très tendance, accessibles, ce qui n'était certainement pas le cas auparavant.

 

Le seul problème (et pas des moindres), c'est qu'une fois que les fleurs sont tombées, il faut avoir de la patience.

 

Pour les voir réapparaitre.

 

Et de la patience, pour regarder deux tiges sortir d'un pot, avant de voir pointer le bout de  fleurs, je ne suis pas sûre d'en avoir assez.

 

C'est moche.

 

Alors, si vous avez des idées à me suggérer, avant que je jette le pot à la poubelle, je suis preneuse.

 

Certains y arrivent bien (la fleuriste a qui j'ai demandé conseil m'indique qu'il faut attendre 3 mois).

 

D'ici là, je l'aurai certainement remplacé par une nouvelle, qui finira aussi sans doute à la poubelle.

 

Oui, je sais, c'est moche.

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 08:00

 

 

 

Voici encore une de mes dernières trouvailles :

 

 

Ça a commencé comme une plaisanterie. On a beaucoup ri, on s'est embrassés, on s'est caressés, c'était doux, c'était chaud, j'étais bien, je n'avais jamais été aussi bien de ma vie.

Je ne suis redescendu du ciel que le lendemain matin, par l'escalier, titubant de bonheur.

Naïf, je pensais que, désormais, j'allais être heureux toujours.

Avant d'avoir repris mes esprits, j'avais décidé de reprendre la ferme de son père.

Quand on est amoureux, on devient un peu fou, et comme je l'étais déjà un peu avant, j'étais capable de tout.

Son père aurait été poissonnier, je reprenais la poissonnerie.

 

J'ai bien aimé ce livre.

Sans doute parce que je suis, moi même fille de paysan (mais pas de poète, malheureusement).

Ce livre est découpé en petits chapitres, qui font penser à un recueil de nouvelles.

Sauf que là, l'histoire se suit.

 

Vous l'aurez compris, c'est l'histoire (un peu autobiographique, je crois), d'une jeune homme qui tombe amoureux d'une jeune fille, fille de paysan.

Et qui pour plaire à sa belle, s'investit d'une mission : devenir paysan et reprendre la ferme familiale.

 

J'ai beaucoup souri à la lecture de ce livre, car j'ai eu le sentiment d'y être (pas en tant que jeune homme amoureux, ni en tant que jeune fille aimée).

C'était simple des bribes de mon histoire familiale : la dureté des travaux, l'éloignement rural, et la confrontation des cultures.

 

Sauf que moi, j'ai depuis, quitté cette ambiance, pour rejoindre la ville proche qui me tendait les bras pour y faire mes études, et ensuite m'y installer.

Pour rien au monde je ne retournerais dans cette vie ancienne, sans pour autant la renier.

Elle m'a façonné, m'a appris à me contenter de peu (pas tentée d'acheter du maquillage chez Sephora), et m'a donné aussi l'envie d'aller voir ailleurs (si j'y suis, par exemple).

 

J'ai beaucoup de tendresse pour le monde paysan, j'y replonge d'ailleurs souvent en écoutant les discussions entre mon frère et ainés et ses fils, qui ont repris la ferme familiale (naissance des petits veaux, travaux de fenaison, etc...)

A la différence de notre génération, il me semble que mes neveux sont plus proches du monde urbain, plus éveillés, et curieux.

 

Si mes parents ne m'avaient pas encouragé à faire des études et à prendre mon envol, je serais sans doute, comme beaucoup d'autres copains-copines de mon enfance, restés dans ce giron.

 

Je ne regrette pas, loin de là, car j'ai conscience que cette double culture fait partie de moi, et qu'elle m'enrichit.

Et j'aime bien voir la campagne, l'été (seulement).

 

 

Jean-Louis Fournier est un écrivain, humoriste et réalisateurde télévision né à Calais le 19 décembre 1938.

Il est le créateur, entre autres, de La Noiraude et d'Antivol, l'oiseau qui avait le vertige.

Par ailleurs, il a été le complice de Pierre Desproges en réalisant les épisodes de La Minute nécessaires de Monsieur Cycolpède, ainsi que les captations de ses spectacles au Théatre Grévin (1984) et au Théatre Fontaine (1986).

On lui doit également l'intitulé de la dépêche AFP annonçant le décès de l'humoriste : « Pierre Desproges est mort d'un cancer. Étonnant non ? ».

En 2008, Jean-Louis Fournier publie le roman Où on va, papa? dans lequel il décrit sa relation avec ses deux fils handicapés.

Le livre, qui reçoit le pirx Fémina, suscite un certain nombre de controverses et une réponse de la mère des deux garçons.

Depuis, il a écrit deux autres romans : Poète et Paysan en 2010 et Veuf en 2011 (que j'ai bien envie de lire, j'en ai lu beaucoup de bonnes critiques).

 

 

 

 

 

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 08:00

 

Lundi et mardi, j'étais à Paris.

 

 

 

Pour deux jours de formation (pas de visite de la Tour Eiffel pour autant).

 

N'ayant pas envie, comme les années précédentes de me lever lundi matin à 5h, j'ai décidé de partir dimanche (je vieillis).

 

Bien m'en a pris, car je suis rentrée mardi soir...sur les rotules.

 

Déjà, les deux jours de formation, assise à écouter palabrer sur différents sujets, ça m'épuise.

 

Ensuite, lundi soir, tout le groupe était convié à une soirée, au Don Camillo.

 

Couchée à 2 heures du matin, et levée mardi à 6h30, inutile de vous dire que je n'avais pas mon compte de sommeil.

 

Sans oublier que ne pas dormir dans mon lit, c'est pénible (quand je vous dis que je vieillis).

 

Je suis rentrée mardi soir, par le train, où je comptais piquer une petite ronflette.

 

Même pas (plus je suis fatiguée, moins je dors).

 

Le bilan de ces deux jours : positif dans le sens où cela m'a changé de mon lieu de travail habituel, et j'ai pu échanger avec d'autres "collègues"; mais négatif dans le sens où le bouillonnement de la vie parisienne m'épuise et me vide de ma substance (surtout avec des bagages à porter tout le temps).

 

J'étais bien contente de rentrer dans mes pénates, et en revenant de la gare à pied, j'ai savouré le calme des rues bisontines (même avec le vent et la pluie).

 

Je suis une provinciale, et j'aime ça.

 

 

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